Summary of Die Hard on Ice (2000) – Icebreaker
In Die Hard on Ice, directed by David Giancola, viewers are plunged into a heart-pounding winter thriller set against the picturesque yet perilous backdrop of Killington Ski Resort. As the holiday season attracts crowds of vacationers eager for snow-filled adventures, chaos erupts when a terminally-ill terrorist leader, portrayed with chilling intensity, seizes control of the resort, armed with a stolen nuclear device.
The film follows ski patrolman Matt Foster, played by Sean Astin, who finds himself in an extraordinary situation as he fights to save his fiancée and her father, along with hundreds of innocent tourists. Foster’s determination is put to the ultimate test as he faces a ruthless band of mercenaries, navigating the treacherous snowy landscape both on land and in the air.
Bruce Campbell shines as a formidable antagonist, bringing a charismatic yet menacing presence to the film, while Stacy Keach rounds out the talented cast in a gripping role that adds depth to the story. Giancola’s screenplay employs a blend of action and drama, keeping audiences on the edge of their seats as Matt defies all odds, utilizing his skills as a ski patrolman to outsmart the terrorists.
With pulse-pounding action sequences and moments of poignant drama, Die Hard on Ice delivers a unique twist on the action-thriller genre, reminding viewers of the true spirit of heroism amid perilous circumstances. The film’s engaging plot and dynamic characters ensure that it is an unforgettable winter adventure that pairs adrenaline with heart.
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Video “Die Hard on ice – 2000 – Icebreaker” was uploaded on 11/11/2025 to Youtube Channel Cinéfilm































merci
La montagne en otage (Icebreaker)
TV 2000 De David Giancola avec Sean Astin, Bruce Campbell, Stacy Keach
TRES mauvaises critiques – Exemple sur Allociné (extrait)…
"A la réalisation, on retrouve David Giancola, un habitué des films catastrophe ou Séries B d’action (Pressure Point – 1997 & Le feu qui venait du ciel – 2001), il ne faudra pas s’attendre à des miracles venant de sa part, l’ensemble s’avère mauvais du début à la fin.
Un rip-off à mi-chemin entre Die Hard (1988) & Cliffhanger (1993), le film voulait jouer dans la cour des grands, mais l’absence flagrant de budget vient plomber toute initiative. Les terroristes font vraiment peine à voir, à commencer par Bruce Campbell (vilain avec sa boule à zéro !), qui cabotine à défaut de convaincre. Sean Astin, mou du gland se la joue héro d’un jour face à Stacy Keach qui n’est là que pour son cachet d’acteur et apposer un énième nom connu sur l’affiche.
La mise en scène est à l’image du film (bourrée de faux-raccords), nous offrant pêle-mêle : une course-poursuite en voiture filmée à 3km/h et charcutée au montage (pour ajouter un semblant d’action, la voiture des terroristes zigzag et rentre dans deux voitures achetées à la casse du coin), la séquence invraisemblable de l’hélicoptère ou encore, la fameuse scène finale avec la bombe dans le télésiège (alors que le timer de la bombe affiche 4min avant explosion, cette dernière n’explosera en réalité qu’au bout de 10min montre en main ! Le réalisateur ayant étiré à son maximum la course-poursuite avec ses assaillants, il se contrefout d’être raccord avec le timing et en fait des tonnes).
En dehors de cela, on peine à comprendre l’intrigue et où veut en venir le chef des terroristes (Bruce Campbell) qui philosophe au milieu des otages. Pendant ce temps-là, on s’amusera de contempler l’explosion d’un hélicoptère radio télécommandé, un lance-roquette facile d’utilisation (alors que son mode d’emploi est en russe) et le meilleur pour la fin, les doudounes The North Face® sur lesquelles ont été grossièrement floquer le logo du FBI (crédibilité zéro).
David Giancola réalise ici l’archétype du téléfilm du dimanche après-midi. Il n’y a absolument rien qui ne va dans ce film, c’est mauvais et il ne faudra pas compter sur son casting de têtes connues pour sauver l’ensemble."
Donc… pour teubés.