Even today, Maria Callas (1923-1977) still firmly remains one of classical music’s best-selling female vocalists of all time. Through stills, archival footage, and interviews (including those with friends and co-workers) – This 90-minute presentation offers the viewer a fairly intimate portrait of Callas that also delves into the struggles, as well as the scandals, that had sadly plagued her during the latter-half of her rather short life.
Director : Tony Palmer
Cast : Maria Callas
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Video “Maria Callas: what made her Opera’s Greatest Diva” was uploaded on 06/16/2025 to Youtube Channel Best Documentary
Me gusta mucho la ópera, si pudieran traducir al idioma español. Me interesa la biografía de María Callas. Gracias.
ΕΛΛΗΝΙΔΑ ΘΕΑ !
Beautiful documentary. Thank you.
Wonderful documentary on Maria Callas. My father, born 1910, would listen to Galligurchi and Caruso on the 78 RPM records. When you know the words of the Opera, they are wonderfully intriguing.
I giornalisti sono la coda del diavolo 😈
I giornalisti sono assieme alle albergatori la peggiore razza.
Wonderful operatic Voice❤❤❤
Thanks. Maria was and will always be La Calas🎵🎵🏡🏡🏡 20:33
❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤
Callas' tragic struggle with toxic patterns, addictions and lack of self-respect/love should be a very valuable lesson to whomever needs it: the opposite of what one should do in similar situations (high level of fame, success, wealth and struggle with addiction & self-respect). Callas was also stubborn and prideful to a fault, refused to get treatment and therapy, which ended her life too soon and stupidely. Her self sabotage was infamous on top of the rest, heartbreaking when you think about what her career could have evolved into if only she hadn't let Onassis and pills control then break her, even if her voice wasn't as magnificent anymore as in her 20s she could have done so much more. Callas was her worst enemy. Her extraordinary talent & technics will remain unmatched in opera, but what a big waste the second half of her life & career were, truly.
Maria ⚘️⚘️⚘️ Legend. Thank You ❤
Una Soprano sin punto de comparación LA DIVINA MARIA CALLAS!!! 😊😊😊😊
famous for being famous.
Oui une diva ô combien !! Mais d'où vient ce terme, ambivalent ? On parle de "faire sa diva" ou de "cantatrice exceptionnelle" … Le terme semble si évident que son origine n'est donnée dans aucun dictionnaire. Seul son emploi est constaté. Et même les ouvrages traitant des "divas" ne jugent pas utile de s'arrêter sur ce point. A-t-on toujours utilisé ce terme à l'opéra pour désigner une illustre cantatrice ? Sinon pour qui, quand, où, comment ce terme est-il apparu à l'opéra pour la première fois ? On doit à Jean Mongrédien d'avoir éclairci cette question dans son ouvrage : "Le Théâtre-Italien de Paris" (1801-1831 ) (8 vol). Et voici comment …
D'abord il est à remarquer que le terme est employé par T. Gautier lorsqu'il publie en 1838 son poème "La diva" s'agissant de Julia Grisi. Le poème mêle subtilement les deux acceptions du terme, personne qui se sait adulée et illustre cantatrice. On constate de même qu'une interprète aussi éminente qu'Isabella Colbran (créatrice de nombreux opéras de Rossini entre les années 1815 (Elisabetta Regina d'Inghilterra) et 1822 (Zelmira) est appelée "prima donna". Le terme de "prima donna assoluta" précisant le statut d'une cantatrice au sein de la troupe est tout aussi courant. La fenêtre 1822-1838 semble donc intéressante, de prime abord, pour la recherche en objet.
Il convient d'écarter une hypothèse fréquente, qui se révèle fantaisiste, selon laquelle "diva" serait le féminin de "divo" terme par lequel on aurait, en leur temps, désigné ces autres stars de l'opéra qu'étaient les castrats au XVIIIe siècle. Or l'examen des sources montre qu'aucun castrat n'a été désigné ainsi de son vivant , pas même le plus illustre d'entre eux, Farinelli : ainsi Charles Burney, dans son ouvrage "De l’État présent de la musique en France et en Italie, dans les Pays-Bas, en Hollande et en Allemagne, Gênes 1809, 3 vol", qui a connu Farinelli, cite l'appellation "Il ragazzo" (le garçon) donnée à Farinelli. Burney indique aussi qu'à Londres, une dame, fan de Farinelli, avait crié "One god, one Farinelli ! ". Avec "god" on approche de "divo" … mais on n'y est pas … Nul doute que si Farinelli avait été appelé "divo", Burney n'aurait pas manqué de le signaler. Il apparaît ainsi que "diva" n'est pas issu de "divo" mais il est plus probable que "divo" soit issu de "diva", pour l'appliquer rétrospectivement aux castrats.
Pour ce qui nous occupe Jean Mongrédien relate que, lorsque Joséphine Fodor-Mainvielle fait son retour au Théâtre-Italien de Paris fin 1825, elle est auréolée d'un prestige immense acquis précédemment en Italie et en Autriche, notamment avec le rôle de Semiramide de Rossini. On la désigne comme "dea del canto". Mais "dea" n'est pas "diva" … On s'en approche … Mme Fodor exige, pour son retour en France, de créer à Paris, la "Semiramide" de Rossini. Or sur place, régnait alors la non moins illustre Giuditta Pasta, future créatrice de Norma (…et de l'air "Casta …diva")…. Un conflit apparut donc sur la question de savoir laquelle des deux créerait "Semiramide". Ce fut Mme Fodor qui obtint gain de cause. Mais … c'était sans compter sur les vicissitudes de la santé, et sans doute aussi de la pression : Mme Fodor n'était pas en état de chanter. Au bout de plusieurs semaines, en décembre 1825, après plusieurs semaines d'ajournement, la première eut finalement lieu et la presse écrivit le lendemain qu'on n'entendit qu'une "serinette" … Mme Fodor ne put chanter une seconde fois et se mit à différer encore … devant cette intenable situation, la direction du théâtre se tourna vers G. Pasta. Celle-ci se fit alors prier. Il fallut l'implorer. Elle condescendit enfin à chanter. C'est ainsi que le 03 janvier 1826 Mme Pasta se produisit dans "Semiramide", s'assurant un triomphe : le lendemain 04 janvier, la presse parisienne relatait ironiquement, la prise de rôle, enfin, de la "diva". Tel est le témoignage le plus ancien retrouvé à ce jour de l'émergence du terme "diva" appliqué à une cantatrice. Très vite le terme fut utilisé de façon non plus ironique, mais positive. Fin des années 1820, ce terme s'était imposé (en France) pour les cantatrices les plus célèbres (en plus de Pasta, Maria Malibran entre autres).
Lorsque Giuditta Pasta crée Norma, fin 1831 à la Scala, voilà donc plusieurs années, qu'on lui attribue le terme devenu élogieux de "diva". Bellini et Romani ne peuvent l'ignorer. C'est elle qui chantera donc pour la première fois l'air "Casta diva" … Faut-il voir dans ces termes une pure coïncidence ? Il faut noter que "diva" est un latinisme et qu'en italien, une divinité est appelée "dea" et non "diva". Des poètes ont certes pu utiliser ce terme, mais il n'est pas d'un emploi usuel. Le livret de "Norma", situant l'action dans la Gaule romaine, pourrait naturellement conduire à un emprunt au latin. Toutefois, on observe qu'en janvier 1832 (Naples San Carlo),à l'époque exacte de la création de "Norma", dans "Fausta" de Donizetti (Gilardoni), dont l'action se situe aussi dans la Rome antique, on trouve l'air "DEA, che siedi al terzo cielo" (act I)… pas de "diva" ici. Faudrait-il voir dans le "Casta diva" un discret hommage à son illustre interprète ? Un cas précédent interpelle : en effet dans "Il Pirata" (1827) de Bellini (Romani), comme indiqué dans le coffret Opera Rara de 2012, selon le musicologue Benjamin Walton, l'exclamation de Goffredo "Qual voce!" serait un compliment indirect à l'interprète, le ténor Giovanni Battista Rubini. L'hypothèse que le terme "diva" soit de même un message adressé à la Pasta, n'est donc pas dénué de fondement (et mériterait un approfondissement particulier pour être confirmé ou infirmé).
Quoi qu'il en soit Maria Callas a ressuscité (malgré elle) le mythe de la diva en plein XXe siècle, au plein sens du terme : d'abord le répertoire privilégié de Maria Callas est celui du bel canto romantique, époque où le terme est apparu. Pasta et Malibran (entre autres), du fait de l'exceptionnelle qualité de leur technique et de leur engagement scénique (soulignés par les contemporains) l'ont illustré. Maria Callas est célèbre exactement pour les mêmes raisons. Techniquement elle a retrouvé la technique stupéfiante de cette école, qu'il a fallu ensuite, sur son modèle, plusieurs décennies pour théoriser et enseigner. Quant au timbre, celui de la Pasta a souvent été décrit comme problématique. Le timbre de Maria Callas lui a souvent été reproché. Enfin s'il est bien un aspect par lequel Maria Callas a été une "diva" c'est par sa personnalité et son appartenance à la jet-set. De (rares) annulations ont ainsi été montées en épingle. Et on rejoint ici la première occurrence, ironique, du terme, tel que forgé pour Giuditta Pasta début 1826.
On ne peut refermer cet examen sans évoquer le fait qu'en France précisément, le terme de "divine" au sens d'une personne (femme ou homme) capricieuse, imbue de sa personne, était usité. Ainsi, dans sa correspondance, Mme de Sévigné évoque fréquemment deux femmes, Madeleine Blondel d'Outrelaise et Anne de La Grange-Trianon, comtesse de Frontenac, lesquelles, inséparables, étaient surnommées "Les Divines". En France le terme était avéré de longue date avant qu'on ne "l'italianise" en "diva". En anglais le terme "prima donna" est utilisé dans cette acception ironique, alors qu'en France le terme "prima donna" est quasi inconnu du grand public, quelle que soit son acception.
Eine wunderbare, erfolgreiche Sängerin, welche sich mit Leib und Seele der Musik verschrieb. Im Privatleben hatte Sie leider Pech, vorallem mit dem skrupellosen Onassis.
It's not flattering to hear people calling her fat in that time. It's such a hard term.
The Callas was simply the Callas!
Wieder mit deutscher headline angekündigt und es ist wieder nur verficktes Englisch…blöder Clickbaitor…geh richtig arbeiten anstatt Leute zu verarschen….
Parce que qu’elle était une grande actrice en plus de sa vocalise mais surtout par sa théâtralité !!!!!!!! Renata Tebaldi avait une plus grande voix!!!